tu es un peu comme cette petite lumière qui éclaire les ruelles sombres de minuit.
à la fois chaleureuse et porteuse d'espoir, réconfortante mais angoissante,
j'avais beau ruminer des heures à tes paroles blessantes,
je savais au fond qu'elles n'était que vérité, une manière de m'apprendre la vie.
après tout tu m'as tout appris à regarder la nature s'épanouir, le ciel changer de couleurs.
tu m'as également aider avec ardeur à dompter mes démons,
avec toi tout n'était que renouveau, le temps ne paraissait plus long,
tu m'as fait voir les beautés du monde, même lorsque mon cœur était empli de douleurs.
plusieurs personnes ont voulu t'écraser, te piétiner, mais tu ne t'ai jamais laisser faire.
tu avais beau être seule, de tous abandonné,
tu m'as porté tant bien même tout semblé s'écrouler,
tu aurais eu la force de rivaliser avec des super-héroïnes, grâce ton esprit de fer.
tu m'as sauvé d'un calvaire profond avec ta bravoure et ton courage.
tu souriais même dans les plus complexes des situations,
à toujours avoir des arguments pour tout, à vouloir avoir raison,
c'était fatiguant de te voir te battre même dans l'agonie avec rage.
tu n'essuyer pas mes larmes, ces rares fois où elles coulaient.
caressant seulement mes cheveux, me répétant: "c'est de nos douleurs que naitra le bonheur",
je ne comprenais pas à cette époque, c'était un peu trop utopique dans tout ce malheur,
mais aujourd'hui j'ai médité à tes paroles et je n'ai plus abandonné.  
par ce que j'ai décidé de vivre sans regrets, c'est ce que je transmettrai dans le futur par mon art.